
« Dans les premières phases du conflit (guerre civile libanaise), Amal s’allie avec le Mouvement national, qui fédère les partis de la gauche musulmane sous la direction de Kamal Joumblatt. Mais Moussa al-Sadr en vient vite à contester les orientation du chef druze auquel il reproche d’utiliser les chiites comme chair à canon ou, selon ses mots, d’être prêt à « combattre les chrétiens jusqu’au dernier chiite ». »
Dans, Eugene Ronan, Histoire des Arabes de 1500 à nos jours, New-York, Perrin, 2013, 722 p.